À la demande générale... Bon ok, parce que j'avais du temps à tuer....j'ai entrepris de visionner un autre classique de la TV québécoise. Cette fois il s'agit de la saison 1 de Lance et Compte, diffusée en 1986. Enjoy!
Match cool de la soirée : L'ensemble des combats de Templeton, le sympathique goon de service toujours prêt à sacrer une volée au premier venu.
Match cool de la soirée #2 : Le squash entre un dix roues et la voiture de Maryse Couture.
Match poche de la soirée : La scène de jalousie entre Ginette et Lucie qui ouvrait pourtant la porte à un match hardcore inoubliable dans un hall d'hôtel. Ce ne fut hélas qu'un début d'engeulade teinté d'insultes racistes encore plus mauvaise que la majorité des promos dans les feds de lutte de sous-sol d'église du Québec.
Top heel : Jimmy Chagnon, le gros goon de Boston qui passe son temps à frapper le frêle Pierre Lambert.
Top heel involontaire : Les joueurs de hockey qui pour la plupart sont présenté comme des héros sur la glace tout en étant les pires vidanges possibles dans leurs vies privées.
Top face : Lucien «Lulu» Boivin, le sympathique journaliste jovialiste qui ne pogne pas.
Moment vieux nationaliste péquiste : La série a été écrite par Réjean Tremblay...
Moment hétérosexuel : La très grande majorité du casting féminin de la série. C'était clairement une époque où le body primait sur les capacités à acter quoi que ce soit.
Moment hétérosexuel étonnant : Un personnage qui se prénomme Ginette en étant pourtant hautement fourrable dans tous les sens.
Moment attaque de stéréotypes hétérosexuels : La fille qu'on nous vend comme la plus cute de la série est définitivement Geneviève, l'allemande blonde aux gros totons.
Moment gay : La série est basée autour d'une gang de gars qui se douche ensemble régulièrement, ce qui a évidemment pour effet de rendre la trame narrative hautement homosexuelle.
Moment geek : Le personnage d'Hugo, un adolescent à lunette qui passe sa vie devant un ordinateur. Dommage qu'il ne fut pas roux!
Moment choquer un étudiant universitaire woke en sciences sociales (pléonasme) : Les termes négresses, nègres et niggers sont présents plusieurs fois par épisode.
Moment hommage à Justin Trudeau : La scène de blackface collective dans le vestiaire du National.
Moment très présent à l'écran : À égalité, le hockey, les totons et la bière.
Moment réaliste : Les joueurs qui n'ont rien d'autres à faire que d'essayer de se pogner des guédailles quand ils ont la malchance de jouer à Winnipeg.
Moment réaliste #2 : Lucie , devant deux tableaux modernes qui déclare qu'elles trouve ça affreux.
Moment qui passe moins bien en 2023 : Les multiples références à la culture russe.
Moment typiquement années 1980 : Les grosses moustaches de police à la Village People portée fièrement par plusieurs acteurs.
Moment typiquement années 1980 #2: Les kits de sport fluo de l'ensemble des filles fréquentant le gym.
Moment hommage au #metoo : La scène de pognage de boules non consentis lors du party chez Robert Martin.
Citation de la soirée : Le classique des classiques «Comme ça, il y en a qui trouve que je suis un enfant de chienne, un jaloux, un plein de marde» de Jacques Mercier.
Influence du Webzine : Les roteux du Colisée sont évidemment bourré de moutarde bien jaune.
Impressionner vos parents : Dites-leur que vous faites des Poires rectales d'un téléroman de 1986 pour les trois lecteurs d'un forum internet.

Match cool de la soirée : L'ensemble des combats de Templeton, le sympathique goon de service toujours prêt à sacrer une volée au premier venu.
Match cool de la soirée #2 : Le squash entre un dix roues et la voiture de Maryse Couture.
Match poche de la soirée : La scène de jalousie entre Ginette et Lucie qui ouvrait pourtant la porte à un match hardcore inoubliable dans un hall d'hôtel. Ce ne fut hélas qu'un début d'engeulade teinté d'insultes racistes encore plus mauvaise que la majorité des promos dans les feds de lutte de sous-sol d'église du Québec.
Top heel : Jimmy Chagnon, le gros goon de Boston qui passe son temps à frapper le frêle Pierre Lambert.
Top heel involontaire : Les joueurs de hockey qui pour la plupart sont présenté comme des héros sur la glace tout en étant les pires vidanges possibles dans leurs vies privées.
Top face : Lucien «Lulu» Boivin, le sympathique journaliste jovialiste qui ne pogne pas.
Moment vieux nationaliste péquiste : La série a été écrite par Réjean Tremblay...
Moment hétérosexuel : La très grande majorité du casting féminin de la série. C'était clairement une époque où le body primait sur les capacités à acter quoi que ce soit.
Moment hétérosexuel étonnant : Un personnage qui se prénomme Ginette en étant pourtant hautement fourrable dans tous les sens.
Moment attaque de stéréotypes hétérosexuels : La fille qu'on nous vend comme la plus cute de la série est définitivement Geneviève, l'allemande blonde aux gros totons.
Moment gay : La série est basée autour d'une gang de gars qui se douche ensemble régulièrement, ce qui a évidemment pour effet de rendre la trame narrative hautement homosexuelle.
Moment geek : Le personnage d'Hugo, un adolescent à lunette qui passe sa vie devant un ordinateur. Dommage qu'il ne fut pas roux!
Moment choquer un étudiant universitaire woke en sciences sociales (pléonasme) : Les termes négresses, nègres et niggers sont présents plusieurs fois par épisode.
Moment hommage à Justin Trudeau : La scène de blackface collective dans le vestiaire du National.
Moment très présent à l'écran : À égalité, le hockey, les totons et la bière.
Moment réaliste : Les joueurs qui n'ont rien d'autres à faire que d'essayer de se pogner des guédailles quand ils ont la malchance de jouer à Winnipeg.
Moment réaliste #2 : Lucie , devant deux tableaux modernes qui déclare qu'elles trouve ça affreux.
Moment qui passe moins bien en 2023 : Les multiples références à la culture russe.
Moment typiquement années 1980 : Les grosses moustaches de police à la Village People portée fièrement par plusieurs acteurs.
Moment typiquement années 1980 #2: Les kits de sport fluo de l'ensemble des filles fréquentant le gym.
Moment hommage au #metoo : La scène de pognage de boules non consentis lors du party chez Robert Martin.
Citation de la soirée : Le classique des classiques «Comme ça, il y en a qui trouve que je suis un enfant de chienne, un jaloux, un plein de marde» de Jacques Mercier.
Influence du Webzine : Les roteux du Colisée sont évidemment bourré de moutarde bien jaune.
Impressionner vos parents : Dites-leur que vous faites des Poires rectales d'un téléroman de 1986 pour les trois lecteurs d'un forum internet.